En cette semaine fraîche, le rythme fut calme, ce qui n’arrive pas très souvent par ici, mais aura permis de souffler un peu avant de repartir de plus belle.
Traduction
– Les articles de jeu vidéo se suivent et ne se ressemblent pas. Un ton toujours aussi vif et des thématiques assez variées. Un bonheur de traduction.
– Les poésies jeunesse peuvent se poursuivre. Après l’envoi de 3 premiers poèmes « test », le feed-back est bon et il n’y a « plus qu’à » s’attaquer à la vingtaine d’autres.
– Une petite demande de marketing jeu vidéo, histoire de rester à la pointe.
– Une petite transcréation de peu de mots, mais pour une bonne heure de boulot.
– Et un texte lovecraftien qui m’a beaucoup plu et dont je parlerai un peu plus dès qu’il sera en ligne. J’y ai notamment croisé l’ouvrage dont la couverture illustre ce billet, et un mystérieux château écossais.
Moi qui pensais que mon mois d’avril serait quasi vide… j’étais assez loin du compte. Vers le 20 mars je me visualisais avoir le temps d’écrire, de lire plus, de courir les musées et autres joyeusetés, et le 28 mars, c’était bouclé : 2 gros projets qui s’installent, sans oublier les petits qui viennent s’ajouter. Mais ces projets en cours sont bien trop chouettes pour que je m’en plaigne !
Dans ma boîte aux lettres
– Le programme du Printemps de la traduction d’Atlas qui s’attarde cette année sur la poésie.
Très beau programme, mais dommage que ça tombe en même temps que les Imaginales. Ce sera une prochaine fois pour moi.
– Le nouveau TransLittérature, que je n’ai pas encore eu le temps de lire, mais dont le sommaire est lui aussi très tentant.
Agenda
– Le 24 avril, Josée Kamoun et Olivier Grenot seront invités au CIRTI de Liège autour de la traduction collaborative de In One Person de John Irving.
– Le 1er mai, une rencontre avec Jean-Charles Khalifa, le traducteur de Moi, ce que j’aime c’est les monstres (souvenez-vous je parlais de cet ouvrage ici) est organisée à Arras dans le cadre du cycle D’un pays l’autre de la Contre-Allée.
Liens du moment
– Impossible de ne pas partager la nouvelle campagne de mobilisation de la Ligue des auteurs pro. Si chacun écrit à son député et/ou sénateur, nous aurons peut-être une chance de faire bouger les choses.
Merci de m’avoir lue jusqu’ici, bonne semaine !